Qu’il s’agisse de biens meublés ou du photovoltaïque, la rentabilité promise finit toujours par flancher
Suite a la lecture dans capital d’un article le 25 juillet 2014
Danger pour les épargnants : le retour des placements bidon
et aussi celui la
Placements aux rendements mirifiques : trop beaux pour être honnêtes
je vous engage a les lires avant de vous engagé dans ce genre de placement
Heureusement sur notre station du Cap d’Agde … pas de vrais grands scandales …
mais pas mal de désillusions sur certaines promesses de rendements mirifiques

Un exemple … l’île Saint Martin au Cap d’Agde … heureusement les constructions sont très belles … et trouvent acquéreurs facilement a la revente
Idem résidence Sopraland au départ résidence de tourisme … devenu résidence de vacances tout court et qui se loue ( sans le gestionnaire d’origine …) tres bien grace aux agences de locations du Cap d’Agde du Quartier. Et la revente la aussi trouvent acquéreur à un prix normal sur la station.
Donc attention sur le sud choississez bien votre Station, le Cap d’Agde ne subit pas trop les crises grace a sa renommée qui n’est plus a faire, LE CAP reste LECAP avec ces amoureux de longue date …
Ce n’est hélas pas le cas de certain placements sur d’autres Stations
a méditer sur vos prochain investissements …
Et pour bien faire votre choix pensez a nous : depuis 1982 quartier Plage Richelieu
votre meilleur conseil pour faire un placement sur le Cap d’Agde 04 67 26 18 84
extrait de l’article de capital juillet 2014 :
Qu’il s’agisse de biens meublés ou du photovoltaïque, la rentabilité promise finit toujours par flancher.
Professions libérales, cadres sup et autres épargnants soucieux de leur future retraite : pour les vendeurs de produits de rendement, les cibles avantageuses ne manquent pas. Leur ficelle ? Annoncer à ces clients potentiels un complément de revenu d’au minimum 4% par an, quand il n’atteint pas 7 ou 8% ! Le tout, bien sûr, garanti pendant dix, voire vingt ans… Très répandu en matière de résidences services (qu’un gestionnaire louera, pour le compte de l’investisseur, à des touristes, des étudiants ou des seniors), ce type de promesse ne tient jamais longtemps. Conséquence : en plus de se retrouver avec un bien invendable sur les bras, l’épargnant piégé doit composer avec une rentabilité deux à trois fois moindre, insuffisante pour rembourser son crédit.
Mais comment font donc ces vendeurs indélicats pour gonfler les performances de leurs produits? Première astuce : recourir à un «fonds de concours». Comprenez une somme rondelette, en principe confiée par le promoteur au gestionnaire pour l’aider à lancer le programme, mais servant en réalité à payer les premiers loyers. «Après deux ans, la caisse est vide, et les mensualités ne peuvent plus être versées à la même hauteur», témoigne Anne Hébert, une dirigeante repentie du groupe Quiétude Evasion, anciennement chargée de l’exploitation de résidences de vacances dans le Sud-Ouest. Le scénario se répète alors : le gestionnaire exige de l’investisseur un rabais de loyer, menaçant sinon de mettre la clé sous la porte. «Après renégociation avec le groupe Lagrange, ma rentabilité est tombée de 4,6 à 1%», témoigne Thien An Hoang, propriétaire d’un appartement de loisirs à Saint-Lary. Le pire, dans ce genre d’affaires, c’est que le fonds de concours est en fait alimenté… par les investisseurs eux-mêmes, au moment de l’acquisition, grâce à des tarifs surfacturés de 15 à 25%.